Que vaut une preuve contre un préjugé ?

Copie d'un élève sur un sujet de révision du bac. Note obtenue : 16. Observations du professeur : "De très bonne remarques et une très bonne problématique. Les arguments sont bien développés."

Dernière mise à jour : 16/03/2021 • Proposé par: shabeen (élève)

Introduction

Dans ce sujet apparait 2 notions essentielles qui sont la preuve et le préjugé. ceux ci sont a l'opposé.
En effet, la preuve est une chose qui prouve une affirmation, elle peut aussi s'appuiyer sur un fondement véridique.
Alors que le préjugé est une opinion générale qui repose sur une idée non prouvée.
Quelle valeur a donc un objet s'appuyant sur une démonstration face à une affirmation adoptée par tous sans fondement véridique?
Si l'on a un fait qui s'appuie sur une démonstration comment une simple affirmation peut elle être adoptée de façon générale?
nous répondrons à cette problématique en définissant le préjugé d'une part et en donnant l'essence de la preuve d'autre part.

[tp]1ère partie[/tp]

Le préjugé peut de définie de la sorte: une affirmation quelconque qui n'est aps prouvée mais qui est pourtant adoptée de manière générale. C'est aussi une supposition générale. Spinoza dans l'Appendice au livre 1 de L'Ethique dénonce essentiellement les préjugés anthropocentristes qui sont éventuellement le fait que les hommes pensent que tout est fait pour eux et à cause d'eux ou encore que "les hommes pensent que toutes choses naturelles agissent, comme eux- même, à cause d'une fin". Ce préjugé vient du fait que les hommes veulent savoir selon Spinoza, les causes finales par conséquent ayant trouvé des moyens qui leur procurent ce qui leur est utile sur terre, ils sont forcés de penser que ceux-ci ont été déposé pour eux par une autre personne d'où la superstition. Ainsi, pour Spinoza la superstition est du aux préjugés.
De plus, dans Race et Histoire Levi-Strauss explique ce qu'est l'ethnocentrisme c'est à dire le rejet et la dépréciation des autres cultures. Or, on peut penser que ce rejet provient éventuellement de préjugés qu'ils soient raciaux ou moraux. Ainsi, les grecs excluaient les "barbares" (représentant les étrangers) puisqu'ils ne parlaient pas leur langue; ils supposaient de ce fait qu'ils n'étaient pas humains d'où la notion de "barbare" ou même sauvage!
L'on peut ainsi dire que els préjugés partent d'une certaine supposition et qu'elle s'étend.

[tp]2ème partie[/tp]

Tout le contraire du préjugé, la preuve, elle, peut être un objet servant à prouver quelque chose. L'on peut prendre l'exemple d'un procès, pour inculper un accusé, l'accusation a besoin d'un maximum d'indice portant la culpabilité de l'accusé au maximum.
La preuve peut aussi être une chose sur laquelle s'appuie un fondemen

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