Le peuple a des attentes qui se traduisent par un grand nombre de besoins. Le besoin primordial attendu par la plupart des individus est avant tout l’atteinte du bonheur. Le bonheur n’est sans doute possible que si tout fonctionne bien pour l’individu, que ce soit son milieu professionnel qui lui permet de bonnes ressources matérielles, mais cela passe aussi par la santé, la liberté d’expression, donc les contacts avec autrui, la sécurité, l’épanouissement personnel par les loisirs, l’éducation des enfants…Il s’avère que la politique peut être l’un des moyens pour arriver à satisfaire certains de ses besoins.
Ces constats permettent de se demander dans quelle mesure le gouvernement politique d’un pays peut-il combler les attentes de ses citoyens.
A partir de cette questions, nous pouvons nous pencher sur différents problème : Est-ce que la politique est capable de répondre à notre besoin primordiale çà savoir l’atteinte du bonheur qui s’apparents à chaque individu ? Quel est le rôle et les buts que vise la politique ? Ou encore quelles sont les limites de la politique
Dans un premier temps nous allons nous attacher à nos besoins quotidiens et universels nécessaires pour accéder à notre besoin primordial à savoir le bonheur ; savoir si la politique est capable d’y répondre
Les besoins quotidiens et universels sont dans un premier d’avoir des revenus suffisant pour se loger et se nourrir puis ensuite créer une famille et satisfaire les besoins de chacun et les loisirs permettent l’épanouissement personnel de chaque individu au sein de la famille. Tout ceci combiné me semble nécessaire dans l’acquisition du bonheur. Toutefois ceci est une conception personnelle mais qui me semble assez générale dans nos pays occidentaux pour le prendre comme exemple général. Tout ces constats combinés permettrait donc l’épanouissement de tout un chacun. Or il semble difficile que la politique puisse répondre à tous ces besoins qui en plus varient en fonction du caractère et des ambitions de chacun. Toutefois, nous remarquerons que les ministères du gouvernement français se rapprochent de très près à la réunion des facteurs « nécessaires » à notre bonheur : notre gouvernement à un ministère du travail, des relations sociales et de la solidarité, un autre de la santé, de la jeunesse et des sports, mais également de logement et de la ville ; de la justice ; de l’éducation nationale ; de l’économie de la finance et de l’emploi ; de la culture et de la communication… A